À l’instar de BNP Paribas et son data science and artificial intelligence lab, les banques cherchent à mettre à profit leur énorme quantité de données sous forme de textes, de voix, d’images
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Au cœur de la voiture autonome, on trouve les mêmes algorithmes d'apprentissage automatique que ceux utilisés pour la classification des images ou la reconnaissance de la parole. Mais avant de pouvoir embarquer dans le véhicule, ces algos font l'objet de
Avec sa multitude de capteurs embarqués, la voiture autonome générera bien plus de données que tous les autres véhicules déployés avant elle. Pour faire face à cette situation inédite, la puissance de calcul disponible à bord sera la clé. La réalité
Les capteurs et les algorithmes embarqués dans les voitures sans pilote ne suffiront pas. Pour pouvoir rouler avec plus de sécurité et d'efficacité encore, celles-ci devront également recevoir des informations des autres véhicules et de l'infrastructure routière. Le 7 mai
Pour que les voitures autonomes soient acceptées, il faudra adapter les machines aux comportements des humains et non pas les humains aux modes de fonctionnement des machines. Sur la route vers la voiture autonome, les verrous technologiques seront nombreux. Mais
Après ses 6 mois de stage d’ingénieur CentraleSupélec, ce jeune tunisien d’origine est resté aux côtés de ses deux maîtres de stage pour participer à la création de leur start-up, en octobre 2017. À 24 ans, le data scientist est